Mes autres poèmes
Cela fait des semaines
Cela fait des mois
Que je n’ai rien écrit
Que je n’ai rien exprimé
Ce vide qui me ronge
C’est le vide existentiel
De quelqu’un qui s’interroge
Sur le sens à donner à sa vie
Les mots ne peuvent pas remplacer
Cette quête de sens
La vie ne demande pas aux mots
De lui trouver un sens
Si la vie est ce qu’elle prétend
Si la vie ne s’en va pas vers la mort
Elle s’en va vers où
Vers quel quai
Ou vers quel naufrage
S’étourdir pour ne pas y penser
C’est ce qu’on fait
C’est ce que je vois autour de moi
Avez-vous pensé un instant
Que la vie vous mène où vous la menez
Amenez ce que vous voudrez dans votre vie
Si vous en avez envie
Une chose est inéluctable
La fin viendra
La fin de ce qui s’appelle la terrestre destinée
La terre où on se terre
La terre qui terre la vie
La vie qui quitte la terre
La fin de la vie ou vivre la fin
Ou découvrir la surprise
2 commentaires:
Olá Jacques!
Bela fotografia, e o poema, muito profundo!
Na próxima semana irei visitar meu irmão em Ithaca, assim, vou poder apreciar essas belas paisagens do inverno.
Um grande abraço
Se quiser ver a neve em Salvador do Sul, em meu blog há uma fotografia tirada pelo pai, no inverno de 1994..
http://essenciasensata.blogspot.com/2010/08/dama-do-inverno.html
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