Mes autres poèmes
Comme il se doit
Devant l’imprévu
Devant l’amertume
Il y a l’inconstance
Du dérapage du non-être
Difficile à croire
Plus difficile à espérer
Contre toute atteinte
Contre l’inspiration
Malgré la défaillance
De toute fausse espérance
Inutile de penser
Inutile de croire
Qu’un cœur malade
Faute d’amour
Croupit dans l’inutilité
D’un faux espoir
Une sorte de perdition
Sans rédemption
La conséquence des conséquences
Dans l’errance du non-être
S’attable aux confins du faux
Le flux afflue des vives sources
Accepte l’inévitable évitable
Et se met enfin à la table
Les bols remplis jusqu’au bord
De la sauce chaude concoctée
Remplissent les aspirants
À la certitude d’être
Au-delà des fissures du temps
Devant l’imprévu
Devant l’amertume
Il y a l’inconstance
Du dérapage du non-être
Difficile à croire
Plus difficile à espérer
Contre toute atteinte
Contre l’inspiration
Malgré la défaillance
De toute fausse espérance
Inutile de penser
Inutile de croire
Qu’un cœur malade
Faute d’amour
Croupit dans l’inutilité
D’un faux espoir
Une sorte de perdition
Sans rédemption
La conséquence des conséquences
Dans l’errance du non-être
S’attable aux confins du faux
Le flux afflue des vives sources
Accepte l’inévitable évitable
Et se met enfin à la table
Les bols remplis jusqu’au bord
De la sauce chaude concoctée
Remplissent les aspirants
À la certitude d’être
Au-delà des fissures du temps